5 choses à savoir avant de se faire opérer d’hypermetropie

hypermetropie

Publié le : 16 juillet 20225 mins de lecture

La déficience visuelle touche les trois-quarts des adultes français, et beaucoup souhaitent se faire opérer des yeux pour ne plus pouvoir porter de lentilles ou de lunettes. Si vous souffriez de myopie, d’hypermétropie ou d’astigmatisme, les implants ou les lasers peuvent corriger les problèmes de vision. Voici 5 choses à connaître sur l’opération d’hypermétropie avant de vous lancer.

Déroulement de l’opération au laser pour améliorer la vision et le résultat obtenu

Il existe plusieurs méthodes d’opération hypermétropie à Toulouse, mais certaines procédures restent identiques. La principale chose à savoir est de s’assurer que les yeux sont opérationnels. Ce n’est qu’après avoir effectué tous les tests pour vérifier que l’œil peut être opéré et que le chirurgien peut choisir le procédé le plus approprié et effectuer l’opération. Au début de l’intervention, le chirurgien dépose d’abord quelques gouttes de solution anesthésiante sur l’œil. Après, un écarteur est placé pour garder l’œil ouvert tout au long de la procédure. Une petite ventouse est aussi placée sur la cornée pour l’écraser. Quelle que soit la méthode employée, le laser fonctionne de la même manière, remodèle la cornée pour rétablir une bonne vision. Sur Internet, vous pouvez trouver les avantages de l’opération hypermetropie.

Selon l’agence nationale de sécurité du médicament, une seconde opération est indispensable dans moins de 3 % des cas, car le défaut n’a pas été correctement rectifié la première fois, ou parce qu’il a récidivé. Cela est particulièrement vrai pour les déficiences visuelles fortes.

L’âge pour se faire opérer de l’hypermétropie et savoir si l’opération des yeux est remboursée

Comme vous pouvez le voir, l’inconfort causé par l’hypermétropie varie d’une personne à l’autre. Par conséquent, certains individus hypermétropes asymptomatiques ne portent pas de lunette tous les jours. Dès lors, l’opération d’hypermétropie est inutile. Ces patients arrivent à s’adapter pour que leur vue subsiste normalement. Par contre, pour ces mêmes faits, une intervention au laser peut être utile au fur et à mesure qu’ils vieillissent, principalement vers 45 à 50 ans, quand l’hypermétropie se développe et que des lunettes permanentes sont nécessaires. En revanche, pour les patients très hypermétropes, la chirurgie peut être pratiquée dès l’âge de 20 ans. Il n’est plus nécessaire d’attendre.

La chirurgie rétractive n’est pas indemnisée. Cette chirurgie est considérée comme une opération de confort et n’est pas remboursée par la Sécurité sociale. Les mutuelles offrent des forfaits de 250 à 1 200 euros par bénéficiaire et par an.

Les techniques les plus utilisées

Pour déterminer le procédé le plus approprié, plusieurs identificateurs doivent être pris en compte : état du cristallin, hypermétropie faible ou forte, âge. En fonction de ces identificateurs, vous pouvez choisir la chirurgie au laser femtoseconde. Cette technique est la plus couramment utilisée et permet au patient d’atteindre une vision de loin sans lunettes. En revanche, étant limité à un défaut de +6 dioptries, il ne sera pas possible de réaliser une opération hypermétrope forte. Ou la chirurgie cornéenne au laser et la thérapie multifocale, il corrige la vision de près et de loin, il est donc en particulier approprié aux patients hypermétropes et presbytes. Et la chirurgie par retrait de lentilles et pose de lentilles multifocales, généralement la meilleure solution vers 50 à 55 ans, lorsque la presbytie est implantée et que l’hypermétropie est élevée.

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